30 mars 2012
De retour à Lappis, rien n'a changé, si ce n'est
De retour à Lappis, rien n'a changé, si ce n'est que le sol a provisoirement troqué sa fourrure blanche contre un débardeur d'herbe (provisoirement car la neige ne nous a parait-il pas encore fait des adieux définitifs). Le couloir a été colonisé par un groupe de joyeux singapouriens, et les vieux du couloir dont je commence à faire partie se retrouvent dans leur antre familière, lieu de festins pantagruéliques et de mariages olfactifs insolites.
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