10 mars 2012
Folles nuits suédoises
Oublier l'heure avancée de la nuit pour pouvoir étudier une protéine de plus, tester ses programmes jusqu'à l'aurore, tourner frénétiquement les pages de son livre de bio à la recherche de la structure parfaite, disserter sur le repliement des chaînes d'acides aminés et chérir ses liaisons hydrogène... C'est bien vrai, les Erasmus ne dorment jamais !
PS : J'ai hâte de vous revoir tous dans une semaine !
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